Conseils municipaux    2011

Effondrement rue de la Pâle
La fin d’un rêve



Non les propriétaires du terrain où le gland a grignoté la rue de la Pâle ne paieront la   réparation de soutènement cette voie.

C’est certainement le rêve qu’avait fait les élus de la municipalité pour traiter ce problème.

 Finalement, la rue de la pâle circule sur des terrains qui ne lui appartiennent pas.

Comme il est dit plus bas, sur une initiative du SIVU, une démarche avait été engagée entre avec les propriétaires pour que la commune acquiert les berges longeant cette rue.

Cette initiative a été « oubliée » par tous les élus.

Le comble est qu’une proposition de cession du terrain concerné a été récemment  faite à la commune qui l’a refusée ou ignorée.

Pire encore, l’effondrement  ne concerne qu’une parcelle privée…. Occupée illégalement par la voie publique.


Moralité, la commune achète, pour l’euro symbolique augmenté des 2000€ en compensation des frais de justice engagés par les propriétaire, un terrain occupé illégalement pour avoir l’autorisation d’engager les travaux de soutien de sa voie publique.


Il conviendra de ne pas se boucher les yeux et de finaliser l’initiative engagée il y a moult années …. Et de ne pas l’oublier.


Finalement nous aurons attendus un an pour rien et dépenser 26000+2000€


C’est la fin du rêve du bon père de famille.

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Conseil d’urgence du 26 octobre 2011   

Note de synthèse


Éboulement rue de la pâle:


Après avoir prétendu attendre la décision du tribunal avant d’entamer les travaux, mettant au passage le retard sur le dos de la justice, voilà que la mairie provoque un conseil municipal d’urgence.

La commune  attendait réparation de la part des propriétaires terriens alors qu’elle occupait un espace qui ne lui appartient pas.

C’est vrai , il fallait le savoir, mais je ne pense pas qu'un an était nécessaire pour s’en apercevoir.


Les anciens se rappellent de réunions concernant la cession possible de ces rives à la commune.


Certains on même fait la démarche de céder par écrit leur propriété à la commune. Mais jusqu’a ce jour, il n’on pas reçu de réponse et ne savent même pas si leur terrain leur appartient encore.


Tout laisse à penser que cette démarche est tombée à l’eau.


La situation aurait été plus claire et cela aurait permis d’économiser les 2000€ de cession pour la parcelle concernée mais surtout d’accélérer les travaux.  

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